L'Iridologie, à quoi ça sert ?
L’iridologie est une technique de diagnostic (sauf pour la France où nous utilisons le terme de bilan, observation ou dépistage irien), basée sur la recherche de l’identification de la nature du terrain individuel du consultant.
Résultant de l’hérédité, des antécédents pathologiques, de l’acquis comportemental, le terrain est le potentiel d’évolution d’une catégorie précise de troubles dont la concrétisation dépend du mode d’existence individuel.
Basée sur la proposition que les dispositions corporelles sont reflétées dans les iris avant que la maladie ne devienne cliniquement apparente ; l’iridologie détecte les affections latentes et induit l’hygiène préventive : c’est donc un outil précieux de prévention.
L’iridologie est aussi une méthode dynamique qui permet au praticien de santé de poser des questions opportunes afin de mieux comprendre le consultant et d’ajuster le protocole d’accompagnement non médicamenteux.
Ainsi lorsque le praticien de santé se trouve devant un iris (cf photo) porteur de l’axe du stress (signe irien à 12h et à 18h) sur un terrain reflétant une sensibilité génétique au stress, une hyperréactivité au stress, avec tendance à l’anxiété généralisée, manifestées par la présence conjointe de deux signes iriens (radi solari + anneau de crampe), il sait d’emblée quel fonctionnement organique soutenir et quelle(s) technique(s) réflexologique(s) employer. Il sait d’emblée quelle plante choisir, quelle adaptation alimentaire préconiser.
Et par un examen attentif et rigoureux de l’intensité, la profondeur, le nombre, la dimension des radi solari (signe irien caractéristique), le praticien de santé est en mesure d’ajuster au plus près le nombre de séances nécessaires.
Dans l’iris se lit également la génétique physique et émotionnelle ; l’iris donne des informations sur l’ADN dominant. Dans l’iris gauche ou droit, il y a une influence paternelle ou maternelle et nous avons tous une dominante paternelle ou maternelle dans notre code génétique. L’iridologie moderne permet de déterminer de quel côté nous héritons le plus, c’est-à-dire dans quelle direction d’un signe nous allons le plus.