Alimentation, Iridologie ... Deux remparts anti-Alzheimer

Tout d'abord changer les habitudes alimentaires qui détériorent la santé : les excès de sucre et produits animaux consommés en excès : lait, sucreries, plats raffinés, viandes rouges ou excès de viande blanche.

Au sujet du lait et du calcium en particulier ; nous connaissons l'importance des ions calcium dans l'équilibre des cellules. Les ions calcium sont à la base de l'information entre les neurones. Leur influence dans la maladie d'Alzheimer a été établie par d'importantes publications internationales.

Se pose aujourd'hui la question de la consommation excessive de calcium d'origine animale.

Les manifestations chromatiques au pourtour de l'iris sous la forme de flocons (tophi) sont le fruit d'une transpiration irienne. En étroite relation avec la fonction hépato-intestinale et les résidus du métabolisme des acides, la valeur chromatique permet d'affiner le diagnostic.

Laiteux jaunes, la digestion des produits laitiers est directement mise en cause. Les excès ou la mauvaise digestion des produits laitiers augmentent la calcémie, l'arthrose, les kystes, les fibromes, les concentrations calciques... (Une fois la croissance terminée). La floculation jaune est accentuée par la viande rouge et la charcuterie.

Il convient également de noter que plus la transpiration est feutrée, plus l'écosystème intestinal est perturbé

A propos du pain et du gluten en particulier ; la question du gluten est actuellement sur la sellette, or nous savons depuis longtemps que la consommation de gluten chez les personnes allergiques peut conduire à l'atrophie cérébrale et aux démences via une maladie auto-immune qui crée une réduction du calibre des petits vaisseaux et une démyélinisation inflammatoire. Encore faut-il bien distinguer les allergies des intolérances au gluten.

Et ne nous méprenons pas : le gluten n'est pas toxique en tant que tel, il favorise une intoxication générale qui empêche le passage des nutriments bons pour le corps en créant une malabsorption intestinale. Normalement une bonne mastication appelle la salivation qui pré-digère le gluten que l'on ne devrait pas retrouver ni dans l'estomac et encore moins dans l'intestin : le mauvais gluten peut perturber la barrière intestinale et par voie de conséquence, la barrière sang/cerveau.

Le pain blanc et la multiplication des produits alimentaires contenant du gluten très concentré, issu de semences modernes de froment dont nous avons de plus en plus de difficultés à digérer le gluten, sont les pires car ils se comportent comme du sucre raffiné dans notre corps. Une alimentation trop riche en glucides ou leur mauvaise dégradation favorisent les troubles cognitifs.

L'observation irienne permet très tôt d'évaluer la capacité d'un individu à métaboliser les glucides, céréales et gluten.

En lien avec la sphère hépato-pancréato-intestinale le porteur d'une hétérochromie centrale manifeste une difficulté à dégrader les glucides ; Prudence alors avec les céréales ! Disposition aux troubles digestifs en lien avec des carences enzymatiques.

Les protéines végétales et leurs fibres apportent un effet protecteur bénéfique. Se nourrir de fruits et légumes frais de saison et de proximité, de légumineuses, de grains complets (sarrasin, quinoa, millet...) cuits à la vapeur douce et courte pour éviter la transformation des sucres complexes et des protéines en sucres cachés.

L'huile d'olive utilisée au quotidien apporte vitamine E et polyphénols à laquelle on ajoutera l'apport d'oméga 3 avec l'huile de colza, de noix, de lin, de périlla. De manière générale mieux vaut ne pas cuire l'huile. Notez que vitamine E et polyphénols seraient capables de réduire certaines lésions cérébrales inflammatoires et de restaurer la formation de myéline.

Les oléagineux ; amandes, noix, noisettes, pignons, cajou sont les sources privilégiées de calcium végétal et d'une foule de micronutriments (zinc, manganèse, sélénium...). Le meilleur apport de calcium végétal absorbé jusqu'à 75% par le tube digestif sauf si la personne est atteinte de porosité intestinale.

Les viandes blanches provenant d'animaux nourris au plus près de la nature remplaceront au maximum les viandes rouges et charcuteries.

Parmi les produits animaux excellents pour le système nerveux : les viandes marinées, poissons et fruits de mer frais et/ou cuits par marinade ou vapeur douce et rapide.

Les épices sont également intéressantes pour leurs effets anti oxydants et protecteurs : le curry-curcuma, l'ail, les oignons, le thym, le romarin et toutes les herbes de Provence.

Notre organisme possède des défenses anti oxydantes naturelles en plus de notre système immunitaire.

Un bon système de défense s'observe dans l'iris par une trame irienne dite vitalogène : fine, régulière et serrée, la résistance aux agressions est puissante, la réserve minérale de qualité. La constitution est robuste. Notez que le fait de détenir une trame irienne de bonne densité est un atout sans pour autant garantir d'échapper aux maladies chroniques ou dégénératives. Cela dépendra avant tout des habitudes hygiéno-diététiques adoptées par le sujet.

Notre corps produit deux grands antioxydants : le glutathion et la superoxyde dismutase (SOD). Le vieillissement s'accompagne d'une chute de glutathion cellulaire que l'on rencontre dans les maladies neurodégénératives et aussi l'artériosclérose. Notre source de glutathion se tarit à la cinquantaine. Des niveaux bas de glutathion sont également observés dans la DMLA ou le glaucome que l'on considère comme de possibles signes annonciateurs de l'Alzheimer.

Le monde végétal est notre 1er fournisseur d'antioxydants exogènes. Il faut donc tout faire pour aider les cellules du foie à fabriquer le glutathion, et observer le plus tôt possible les faiblesses hépatiques ; Les manifestations iriennes telles que – Lacune glandulaire 230° OD, 240° OG - Pigmentation – signes annonciateurs d'une faiblesse hépato vésiculaire constitutionnelle, doublée de témoins de progression dans la sclère (blanc de l'oeil) des différents niveaux de « congestion » ; ces degrés inscrits dans la sclère permettent d'évaluer l'aptitude de l'organisme à retrouver plus ou moins vite l'état de santé.

Autres signes d'alerte : - Le gérontoxon, - le xanthélasma, sont des dépôts d'esters de cholestérol. Le premier sous l'apparence d'un anneau gris blanchâtre autour de la cornée, - les xanthomes sont des taches, ou petits nodules sous la peau des paupières riches en dépôts lipidiques (essentiellement du cholestérol), démontrent de mauvaises habitudes alimentaires sollicitant exagérément les fonctions hépatiques.

Autant le glaucome pourrait être une alerte précoce du futur Alzheimer (les protéines impliquées dans l'Alzheimer seraient aussi impliquées dans le glaucome), aucune corrélation n'a pu être mise en évidence à ce jour entre gérontoxon et Alzheimer (il n'en reste pas moins signe précurseur d'artériosclérose). Une corrélation xanthélasma et Alzheimer semble être présente. La rétine est considérée comme une fenêtre ouverte sur le cerveau.