Stress, Anxiété, Dépression légère, Spasmophilie
Causes
Dérèglement énergétique global et difficulté qu’a le mental à réagir à l’environnement, au stress, aux contrariétés psycho-émotionnelles et relationnelles, à une sécurité matérielle idéalisée. Combinaison de facteurs interdépendants : hérédité, biologie et environnement.
Le système neurovégétatif est très souvent mis en cause soit dans le sens sympathique ou parasympathique. L’équilibre de base se trouve déplacé entraînant un fonctionnement anormal sur un mode hyperactif, d’hypersensibilité et d’évitement. Il en résulte un phénomène de lutte et d’épuisement.
Conséquences
Le patient manifeste un état pathologique de souffrance, d’asthénie réactionnelle avec faiblesse psychique, abaissement du sentiment de valeur personnelle, trouble de la mémoire, de la concentration et du sommeil, palpitations, irritabilité, accélération du rythme cardiaque, trouble de panique, comportements compulsifs. Manifestations d’un dérèglement global des mécanismes de régulation énergétique (activateur-freinateur)
Traitement
Il y a donc nécessité de réguler le mode neurovégétatif ; les points dits « d’équilibrage » et du système endocrinien donnés par les cartographies de réflexologie plantaire et faciale permettent de réinitialiser le programme d’équilibre basal qui a été perturbé.
Sur le plan énergétique ceci se fait par une action de régulation « centrale » au niveau oculaire par la technique de chromathérapie lumineuse. Il est important de dissocier le psychisme du système neurovégétatif : en présence de ces deux signes iriens, anneaux de crampe - halo d’anxiété (entre le périmètre pupillaire et la collerette), il convient d’intervenir séparément pour mieux les équilibrer.
- Vert oculaire si les anneaux de crampe sont nombreux
- Rouge oculaire 4 minutes pour stimuler
- Orange 4 minutes si le plexus thyroïdien est concerné
Le point nerveux au creux de l’estomac réapparait souvent dans les 72 jours qui précèdent la date anniversaire de naissance du patient. Une séance de chromathérapie lumineuse annuelle de consolidation est indiquée.
L’examen irien de cette patiente révèle une constitution neurogène. Une trame irienne vitalogène. Grosse énergie mais aussi dépense nerveuse qui peut conduire à l’épuisement voire au burn out ou HTA. Un terrain allergique (réactivité du SI), les lymphocytes sont souvent élevés, tendance aux inflammations, aux problèmes articulaires, arthritique, à l’acidose métabolique.
Point faible : hypertonie végétative, chez cette patiente dans le sens orthosympathique (stimulation sympathique avec augmentation de l’adrénaline circulante pouvant se manifester par irritabilité). Faiblesse du SNC et autonome, tendance aux troubles du sommeil, aux migraines vasculaires et aux pensées obsessionnelles.
Collerette blanchâtre luminescente rétractée : sous activité de la glande pinéale, les médullo surrénales sont particulièrement stimulées d’où excitabilité et besoin de stimulants (café, chocolat ou sucre) qui augmente l’activité sympathique et peuvent générer tachycardie ou autres signes sympathicotoniques. L’épuisement surrénalien peut conduire la thyroïde à prendre le relais (la patiente manifeste un dérèglement thyroïdien sous la forme d’un goitre diagnostiqué à la 1ère grossesse).
Diathèse hydrogénoïde par les tophi en périphérie. Point faible : élimination des déchets et des acides. Fibres densifiées interprétées comme un signe de haute irritabilité nerveuse.
Au niveau psycho émotionnel : l’examen irien révèle une personne très travailleuse avec ténacité, sens du devoir très aigue et dépassant ses possibilités énergétiques d’où épuisement. Tendance nerveuse avec HTA, angoisse : « la peur est au ventre ».
La personne ne manifeste pas particulièrement les émotions mais l’école allemande parle de « peur au ventre qui fait courir comme un lièvre ». Personne très active pour calmer peur et angoisse qu’elle camoufle.
Les personnes porteuses de cette constitution irienne sont particulièrement sensibles aux stimuli de l’environnement qu’ils génèrent dans leur agitation intérieure (sensibilité émotionnelle et physique vivant mal l’agressivité, les ambiances de crise).
Le réglage alimentaire sur le mode de notre horloge biologique joue un rôle-clé dans la régulation des humeurs, pensées, comportements et l’équilibre de la balance éveil-sommeil.
Les neurotransmetteurs, substances fabriquées par l’organisme à partir de certains acides aminés fournis par l’alimentation sont les messagers indispensables qui permettent aux neurones de transmettre l’information (ex : tyrosine précurseur de Dopamine « starter de l’action » permet de bien démarrer le matin, d’être motivé, enthousiaste et d’avoir envie de faire des projets, précurseur de Noradrénaline « accélérateur de l’action » donne l’énergie pour mettre en œuvre les projets et les réaliser avec plaisir. Tryptophane pour la synthèse de Sérotonine dans la Dépression).
Neuromédiateurs et alimentation
- Au petit déjeuner : manger une protéine (fromage, lait fermenté si perméabilité intestinale parfaite. Le petit lait fait baisser le cortisol et monter la sérotonine, œuf de caille, volaille…)
- Au moment de la collation : fruits secs (dattes, figues…) iris fibrillaire et mixte, fruits frais et/ou fruits secs iris hématogène, fruits oléagineux (amandes, noix, avocat…)
- Le soir : feuilles vertes, fruits de mer, matières grasses végétales (oméga 3). Evitement des protéines,
- Evitement des sucres rapides qui favorisent la libération de sérotonine stockée, mais apport en glucides lents (légumineuses, céréales complètes pauvres en gluten)
La recharge alimentairemagnésienne (calmant naturel de l’organisme) et en micronutriments (vitamines B, C, acide folique et biotine, activateurs du métabolisme énergétique cellulaire et du métabolisme des macronutriments) est essentielle.
En apport externe complémentaire elle se fait en privilégiant du magnésium extrait d’eau de mer.
La recharge en ions positifs (Mg2+, K+, P+, Li+) se fait par la technique d’hydrotomie percutanée (Mésothérapie énergétique). Le lithium en oligo élément améliore la qualité des récepteurs à la sérotonine.
Phytothérapie régulatrice de la chimie du cerveau et des émotions
Plantes sérotoninergiques : Griffonia simplicifolia, Bacopa monnieri, Crocus sativus
Plantes agissant sur plusieurs neurotransmetteurs : Hypericum perforatum, Magnolia
Plantes gabaergiques : Herbe aux chats, Passiflora incarnata, Escholtzia
Plantes dopaminergiques : Rhodiola rosea, Phosphatidylsérine (lécithine de soja), apport de phénylalanine, de tyrosine, de cofacteurs (vit B, Mg en particulier) : rôle important d’un petit déjeuner contenant des protéines. DHA (oméga 3, laitance de poisson : acetylcholine, aliment de la mémoire déficitaire dans la baisse des facultés de mémorisation, de concentration, d’apprentissage, hyperactivité de l’enfant, SEP, Parkinson, AVC, Alzheimer). Evitement caféine et sucre (Adrénaline met en orthosympathique et déplétion Mg, Taurine).
Plantes sympatholytiques : Lavandula officinalis, Melissa officinalis, Crataegus oxyacantha
Plantes parasympaticotoniques : Rosmarinus officinalis, Marjolaine
Noter que les carences énergétiques peuvent naître du dysfonctionnement de la perméabilité du grêle (colite, colopathie…) avec déficit de liaison des jonctions serrées, entraînant une carence d’apport endogène en précurseurs (Calcium, magnésium, fer, manganèse et autres oligo-éléments) de la synthèse hormonale et des médiateurs chimiques à partir des acides aminés avec retentissement à distance, sur la chimie du cerveau et des émotions. Il en est de même dans le retentissement sur la fonction thyroïdienne, l’équilibre hormonal (SPM,…) en gynécologie et les troubles de la distribution du calcium (ostéoporose, arthrose) en rhumatologie